Lu sur le site des Amis de la Commune de Paris :
« Le 11 juillet 1880, la loi portant amnistie générale des communards était adoptée. Ce n’était en aucun cas une révision de la condamnation.
« La plus belle forme de réhabilitation des communards serait que soient enfin mises en œuvre les mesures démocratiques et sociales de la Commune qui restent d’une brûlante actualité :
- Démocratie réelle permettant au peuple d’être entendu et d’exercer sa pleine souveraineté
- Ecole laïque, gratuite et obligatoire
- Egalité des salaires des femmes et des hommes
- Réquisition des entreprises et des logements abandonnés
- Démocratie sociale et contrôle salarié
- Justice accessible à tous
- Reconnaissance de la citoyenneté locale pour les étrangers. »