Qu’est-ce qui est le plus important pour 2012 : les principes, le programme, le modèle politique, les couches sociales qui soutiennent le proje ou le candidat ?
Voilà la question que ne se pose pas les grands médias, fascinés qu’ils sont par les esthétiques royales, cléricales, extrême-droitières et par les grands destins individuels censés diriger le monde. En fait, toute leur prose, toutes leurs images, sont portées par cette fascination esthétique ou par leur tentative d’expliquer l’évolution du monde uniquement portée par des destins individuels. A la question posée dans le titre de cette chronique, ils répondent tous en cœur : « le candidat, bien sûr ! » (suite…)