Les déficits politico-stratégiques de la gauche du non se révèlent dans le scrutin du premier tour des Régionales
Répétons-le, la gauche du non doit parler d’abord aux 31,3 % de ceux qui sont à gauche et ont voté non le 29 mai 2005. Ce jour-là, les couches populaires (ouvriers, employés), majoritaires dans notre pays, ont assuré la victoire du non. Gaël Brustier et Jean-Philippe Huelin l’ont bien montré dans leur livre « Recherche (le) peuple désespérément« , la carte du non du 29 mai est la même que la carte de grande implantation des couches populaires.
Qu’en est-il aujourd’hui ? (suite…)