Sur demande de l’Elysée, quelques étudiants juifs pratiquants pourront passer les concours d’entrée à des grandes écoles (Mines, Ponts, Centrale et Supélec) pour partie en dehors des sessions normales d’examen. Des sessions secrètes de nuit ont été prévues, avec un confinement préalable des candidats. Alors que le chef de l’Etat orchestre une campagne de stigmatisation des immigrés d’origine arabe, l’affaire met en évidence que la défense de la laïcité, avancée pour justifier cette politique, n’est qu’un prétexte.
par Laurent Mauduit
Lire la suite sur le site de Médiapart (Payant)